À l’occasion de la célébration, en 2017, du 73e anniversaire de la Libération de Nice, l’historien Michel Goury a réalisé des recherches sur les nombreux résistants et sur les hommes dont le courage a permis à Nice de retrouver honneur et liberté.
C’est lors de ces recherches qu’il a découvert que, contrairement à ce que l’on pensait, le gendarme Emile Krieger, du groupe René Canta, ne serait pas décédé à Nice le 28 août 1944 mais en déportation en Autriche, le 11 janvier 1945.
Jeudi 11 janvier 2018, jour anniversaire de sa mort, une plaque sera dévoilée lors de cette cérémonie et un hommage lui sera rendu à la Villa Paradiso en présence d’élèves de CM2 de l’école des Arènes de Cimiez, de Michel Goury, de Stéphane Morabito, Historien, de Véronique Thuin, Historienne et de Jean-Louis Panicacci, Président du Musée de la résistance.
Commémoration en souvenir du résistant Emile Krieger mort en déportation le 11 janvier 1945
En présence de
Jean-Marc Giaume, Adjoint au Maire de Nice délégué à l’éducation, à la restauration scolaire, aux activités périscolaires, et au territoire « Cœur de Paillon »,
Conseiller Métropolitain Nice Côte d’Azur,
Olivier Robaut, adjoint au Maire délégué aux anciens combattants, subdélégué au Vieux-Nice,
Hélène Salicetti, conseillère municipale, subdéléguée à l’Education,
Marie-Dominique Ramel, conseillère municipale subdéléguée au tourisme et élue de Territoire Centre Est et Trois Collines,
François Rabut, Président de la mission de commémoration du centenaire de la 1ère guerre mondiale
Jeudi 11 janvier 2018 à 10h30
Villa Paradiso – 24, boulevard de Cimiez à Nice