Les honoraires d’agence demandés lors de la vente d’un bien immobilier peuvent souvent être perçus comme une charge trop onéreuse pour la partie qui la supporte. Pourtant, en regardant les faits de près, force est de constater que le travail accompli par l’agent immobilier est de taille : étude préalable à la commercialisation, promotion, suivi, rédaction des actes. Pour en savoir plus sur ce qui se cache derrière un simple pourcentage, nous avons demandé à Benjamin La Pietra, le « Papa poule en immobilier » de Cimiez Boulevard, de répondre à nos questions.
Afin de comprendre d’avantage ces honoraires, pouvez-vous nous dire quels sont les éléments clefs pour aboutir à une vente ?
« Dans le concret, pour le client vendeur, l’agence proposera une évaluation écrite et argumentée qui repose sur des données sûres et fiables (notamment les données des historiques de vente du MLS Côte d’Azur), ainsi qu’une stratégie de communication en adéquation avec le moment et le marché.
Nous avons l’habitude de proposer la signature d’un mandat en exclusivité multi-diffusé© qui engage l’agent et sécurise la relation dans la confiance et l’assurance de moyens mis en place. La finalité reste celle d’atteindre le résultat escompté dans des délais raisonnables.
Côté acquéreur, il faut avoir présent à l’esprit que ce n’est pas simplement par opportunité qu’un acquéreur trouve le bien qu’il recherche : la capacité de l’agence à connaître et maîtriser son marché, son expertise, les affaires conclues en amont, sont des éléments incontournable qui concourent à l’aboutissement d’une vente.
Cette expérience ajoutée à la capacité à écouter le client, à cerner ses besoins, permettent à l’agent immobilier de lui proposer des biens pertinents. »
Pouvons-nous dire que les honoraires se justifient uniquement par le travail réalisé sur le terrain par le négociateur ?
« Non, pas uniquement. Le travail effectué sur le terrain avec les clients n’est que « la partie visible de l’iceberg » ; en effet, avoir recours à une agence immobilière permet aussi d’accéder à la sécurité juridique, au travers de la rédaction de documents officiels, dans le respect de la législation pour l’acquéreur et le vendeur : mandat, promesse de vente etc.
En effet, à Cimiez Boulevard nous rédigeons les compromis de ventes et proposons des documents complets et toujours à jour au travers de notre appartenance à la FNAIM, tout cela, encore une fois, dans l’intérêt du client», continue Benjamin.
Benjamin, vous mettez votre professionnalisme et votre bonne humeur à la disposition de vos clients et de vos collègues, vous partagez votre passion pour ce métier. Pouvez vous, pour finir, nous en dire d’avantage sur le « Papa poule » que vous êtes ?
« Ma vie a changé il y a 3 ans et demi en devenant papa de la petite Emma. Au cours de notre vie nous sommes tous confrontés à différentes épreuves ou challenges : des études éloignées du domicile familial, un aménagement, la construction d’un foyer, l’arrivée d’un enfant, mais aussi des projets liés à une famille qui se recompose ou une mutation professionnelle. Les charges émotionnelles que ces événements provoquent peuvent être considérables et peut chez le client créer une appréhension justifiée.
En devenant papa, j’ai saisi cela : nos clients méritent d’être rassurés, accompagnés, conseillés, soulagés et satisfait. Je dois bien l’avouer, ma fille m’a fait grandir.
Mieux comprendre les préoccupations de l’autre me rend plus efficace. Aujourd’hui je ne travaille plus « pour mes clients », mais « avec mes clients » pour la réalisation de leur projet immobilier dans les meilleures conditions. Conseiller, accompagner, sécuriser, informer, ouvrir de nouveaux horizons… « Papa poule » aviez vous dit? »
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