Martin Leyrit habite nos collines depuis sa plus tendre enfance. Ce jeune créateur d’une griffe de joaillerie, aurait-il hérité de son gout du raffinement en fréquentant ces hauteurs serties de palaces élégants et de ces musées qui font rayonner deux grands maitres de l’art Moderne : Matisse et Chagall ?

Ce qui est sur c’est qu’enfant, Martin baigna dans un climat propice à éveiller les sens aux belles choses « Mon grand-père était ce célèbre architecte niçois qui a notamment édifié le fameuse « salle Leyrit » qui porte son nom en hommage à son travail dans la région. Ma grand-mère fut elle chanteuse d’Opéra, ma tante Paul Leyrit, une artiste peintre dont certaines œuvres sont conservées au MAMAC. » Quant à sa mère qui suivi un cursus artistique, elle a toujours souhaité transmettre à son fils son tempérament créatif : « Très jeune j’ai suivi des cours de dessin mais elle m’a également fait partager son amour des beaux-arts et du design en me faisant visiter les musées et les galeries d’art de la région »

Malgré son rêve d’enfant : devenir architecte comme son grand père, Martin Leyrit s’oriente vers une filière économique « J’avais développé un intérêt croissant pour la sociologie et l’économie, par ailleurs j’étais fasciné par l’univers du luxe, sa quête de perfection, d’excellence. Je cultivais aussi le désir de créer ma propre entreprise pour vivre librement de ma passion ! ». Ce rêve Martin entend bien le concrétiser. Après un BAC ES il vise les grandes écoles de Commerces. Deux ans d’IUT lui permettront d’intégrer sur concours l’Ecole de Commerce Supérieure de Montpellier, particulièrement prisée pour la qualité de son enseignement. Alors qu’il vient de décrocher son diplôme en spécialité « Entreprenariat », un ami diamantaire connaissant son attirance pour l’art et sa sensibilité pour les beaux objets lui propose de s’associer afin de créer une marque de bijoux personnalisés. « Je n’ai pas hésité. J’ai toujours été fasciné par la haute joaillerie et l’horlogerie. Deux disciplines artisanales qui symbolisent la perfection en terme de rareté, de matières et d’expertise séculaire. Pour l’anecdote j ‘avais contracté tout petit la passion des belles pierres. Avec mes camarades nous partions en expéditions dans le lotissement de Gairaut où j’ai grandi pour dénicher les plus beaux joyaux de nos collines », ajoute souriant Martin.

Cette première expérience professionnelle sera pour ce jeune entrepreneur un véritable coup de fondre ! A tel point qu’un an plus tard il décide de créer sa propre société pour se lancer, seul cette fois, dans une aventure encore plus ambitieuse : « Le concept BARTH était simple : Créer une marque de Joaillerie haut de gamme, offrant une expérience de personnalisation unique, alliant qualité exceptionnelle du service, du design et de fabrication dans les règles de l’Art. L’Objectif : satisfaire tous les clients, en s’adaptant au plus prés à leurs attentes, leur personnalité et leur budget ! Le défi : Créer un bijou au design qui ressemble réellement à notre client, ceci afin de donner à chacune de ces pièces uniques tout leur sens et leur valeur au delà de celle pécuniaire ! » A cette fin chaque projet de personnalisation est avant sa fabrication confié aux mains expertes d’un infographiste qui donne vie au bijou grâce à sa modélisation 3D. Vous pourrez ainsi admirer votre création sous tous ses angles avant de valider votre choix.

Soucieux de la qualité de l’ouvrage et de la sélection des pierres Martin Leyrit collabore depuis trois ans avec l’atelier cannois « Les 3 Ors » qui en 40 ans d’exercice s’est taillé une solide réputation nationale pour l’exigence de sa fabrication à façon. « Mon objectif à cours terme est d’ouvrir un premier Showroom BARTH à Cannes dédié exclusivement à la Création de pièces de Joaillerie. Une sorte de laboratoire du « sur-mesure » ouvert sur rendez-vous afin de prendre le temps d’étudier chaque projet personnel. Ce Showroom bâti comme un cocon mêlant luxe, savoir-faire et nouvelles technologies fonctionnera également comme un atelier d’artiste «  Des collections éphémères de pièces en séries limitées y seront produites chaque année. A moyen terme j’envisage d’organiser des expositions temporaires à l’internationale afin de développer la notoriété de la griffe » Pierre qui roule n’amasse pas mousse !

Attention lecteurs, la Saint Valentin approche, plus d’excuses !!

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